Pour la communauté: Les amis de L'UCPA ici: link
Si il est vrai pour que qui me connaît un peu dans le monde de la blogsphère, que j'ai une grande passion pour les grands mammifères terrestres, et Africains , il n'en ai pas de moins en ce qui me concerne que j'aime le monde du silence et ses habitants, aujourd'hui ce billet que je dédie tout particulièrement à Nath ici :
et à Andrée,ici: link Prendre le temps ...
et à tous les amoureux des mers et des océans autour du monde, va nous emmener en immersion dans le monde des dauphins,je précise que toutes les informations ont été prise sur le net, et je vous donne les liens:
link et aussi celui-ci:
afin de vous permettre de faire vos recherches pour les passionné(e)s. Les photos bien entendu ont été faite au zoo Safari de Fasano.
J'ai également appris en faisant mes recherches ce qu'un Céteologue doit donner comme bagage culturel, soit: ll faut au minimum un Master (Bac+5) ou un Doctorat (Bac+8) en relation avec la biologie marine.
Une formation initiale de vétérinaire (Bac+ 6) peut également convenir.
Le premier système de traduction humain dauphin date du milieu des années 1960. Financé par la Navy américaine, le transphonomètre imaginé par Dwight Wayne Batteau savait convertir le son de nos voyelles et consonnes parlées en séquences sifflées et transmises sous l’eau, en bassin, à des dauphins domestiqués qui pouvaient alors les reproduire au travers d’un hydrophone. Classées secret défense depuis 1967, à la mort de Batteau par noyade, les activités liées au transphonomètre ont été officiellement abandonnés. Même les contrats et schémas de l’invention sont devenus introuvables. En 1977, John C. Lilly, fasciné par les progrès de l’informatique, travaillera également à un traducteur automatique : le projet Janus. Conçu sur l’hypothèse anthropomorphique que les dauphins disposent de langages, Janus visait à convertir automatiquement les sons des cétacés en mots et identifiants humains et vice-versa.
Adulte, le cerveau d’un grand dauphin, l’espèce la plus étudiée, pèse environ 1,6 kg. Quatre fois plus que le cerveau d’un chimpanzé, il est également légèrement plus lourd que le cerveau humain, qui pèse lui entre 1,3 et 1,4 kg.
Au-delà du poids, un bon indicateur des capacités cognitives du dauphin prend la forme du coefficient encéphalique (CE). Ce calcul, qui exprime le rapport entre la masse du cerveau et celle du corps, est particulièrement favorable aux humains, classés premier. Le dauphin arrive en deuxième, juste après l’homme. Et prend carrément la tête en ce qui concerne l’indice de pliure, c’est-à-dire la complexité et la densité des circonvolutions de son cortex cérébral. Avec un taux de replis de 4,47 contre 2,86 chez l’homme.